Baba Fekrane et autres contes, de Mohammed Dib, Éditions Barzakh, 2023, Alger.
Six contes réédités et accompagnés de créations d’illustrateurs et d’illustratrices de six pays diff´érents: Algérie, France, Iran, Soudan, Suisse, Tunisie.
Le Désert sans détour, de Mohammed Dib, Actes Sud BD, Arles, juin 2021. Le roman a été réédité avec les illustrations de Jacques Ferrandez, qui a réalisé ses dessins au cours d’une résidence dans l’oasis de Taghit, dans le Sahara algérien. (25€)
Le roman illustré par Jacques Ferrandez a été édité également en Algérie chez Apic (Alger), qui a également publié à cette occasion une édition critique du Désert sans détour avec la préface et les notes d’Habib Tengour.
Au commencement est le paysage, de Sabeha Benmansour, essai sur l’ancrage tlemcénien de l’œuvre de Mohammed Dib. Casbah éditions (Alger).
Parutions de l’année 2020
Thélème, la revue d’études françaises de l’Université de Madrid a publié, dans son volume 35, numéro 2 (2020), un dossier monographique ayant pour thème « Le divers dans l’œuvre de Mohammed Dib ». La revue est disponible en ligne : Thélème – Mohammed Dib
La revue Europeconsacre son dossier principal à Mohammed Dib dans le numéro de juin, juillet, août 2020. Présenté et coordonné par Hervé Sanson. 20 €. Voir en ligne le sommaire et la présentation d’Hervé Sanson
Tlemcen ou les lieux de l’écriture, en co-édition Barzakh/Images Plurielles. Alger, Marseille, 2020. Photographies et textes de Mohammed Dib, préface de Waciny Laredj. 144 pages – 55 photographies, 28€. Voir le site de l’éditeur Images Plurielles : Tlemcen ou les lieux de l’écriture
Formulaires, poèmes, réédité dans la collection Points Poésie. Paris, 2020. 128 pages, 6.90 €. Points Poésie – Formulaires
La Danse du roi, roman, réédité dans la collection Points. Paris, 2020. 240 pages, 8.50 €. Points – La Danse du roi
Le Vœu de la septième lune, pièce de théâtre inédite. Présentation par Hervé Sanson. Collection « Petits inédits maghrébins ». El Kalima. Alger, 2019. 134 pages, 600 DA (14 € en France). Voir la critique de Didier Ayres : Le Vœu de la septième lune